Un arrêté de 1964 intime aux "merlans" de La Rochelle et Rochefort de rester fermés. Parce que ça tombe un dimanche.

Le texte est probablement la survivance d'une absence d'accord entre les syndicats de la coiffure et les services de l'Etat, explique à Demoiselle Sophie Bauçais, qui exploite plusieurs salons dans le département. Seule parade à l'heure actuelle, demander une dérogation à la préfecture. Le paradoxe, c'est qu'elle n'en n'a pas besoin à Royan où elle est aussi implantée. Sylvie Marsilly, vice-présidente de la CARO chargée de l'économie, a pris langue avec le sous-préfet pour tenter d'obtenir une solution.